1/ Annonciation
L'ange
Gabriel surprend Marie qui lâche la pourpre, couleur des rois,
qu'elle était en train de filer pour accueillir le roi du Monde. La
tête ceinte d'un bandeau rouge pour signifier que son message ne
vient pas de lui-même mais du Très Haut, l'ange porte le message en
forme de croix annonçant le début mais aussi la fin du Sauveur en
cette terre.
Marie fait signe d'acceptation de la main droite. Les textes apocryphes disent qu’à cet instant crucial de sa vie, elle était à la fontaine partie puiser de l’eau, symbole de fécondité et de maternité, comme le vase, forme utérine, qu’elle a posé pour écouter la voix de l’ange. Une jeune pousse verte est aussi symbole de fécondité et rappelle l'arbre de Jessé dont est issue la jeune fille.
Marie fait signe d'acceptation de la main droite. Les textes apocryphes disent qu’à cet instant crucial de sa vie, elle était à la fontaine partie puiser de l’eau, symbole de fécondité et de maternité, comme le vase, forme utérine, qu’elle a posé pour écouter la voix de l’ange. Une jeune pousse verte est aussi symbole de fécondité et rappelle l'arbre de Jessé dont est issue la jeune fille.
Le
Ciel en demi-cercle, forme divine, coule vers Marie pour lui apporter
l’Esprit montré sous forme d’une colombe. Marie devient alors
Mère de l'Eglise, ainsi construite autour d'elle, de forme
arménienne, car c'est la première de l'histoire.
Les couleurs de vêtements sont inversées entre l'Ange et Marie : l'un d'ordre divin vient sur terre, l'autre humaine est divinisée par la présence du Sauveur.
Les couleurs de vêtements sont inversées entre l'Ange et Marie : l'un d'ordre divin vient sur terre, l'autre humaine est divinisée par la présence du Sauveur.
La
Vierge est vêtue de bleu qui exprime le détachement vis-à-vis du
monde et l'envol vers Dieu et d’un manteau rouge qui manifeste le
déferlement d'une vie exubérante et est le symbole de la vérité
divine dans l'Ancien Testament. Symbole de l'amour, du sacrifice et
de l'altruisme. La pourpre était dans le monde antique en
général et byzantin en particulier, la couleur du vêtement
impérial. Le manteau de la Vierge « manphorion » est
de cette couleur, symbole ici de royauté et de divinité, puisque
Dieu l’a choisie pour être la Mère du Roi du monde.
L’ange
à l’inverse, comme le Christ, s’habille de rouge symbole de
pouvoir terrestre suprême et du bleu de sa divinité. Le bleu du
manteau "himation" du Christ symbolise son caractère
céleste, infini, sage et mystérieux. Céleste ou profond, il marque
une participation au divin indicible, au transcendant
impalpable, à l’infini du ciel ou de la mer.
Le coq du tympan symbolise le Christ annonçant le commencement du royaume : la parousie
Les vivants (Ez.1:5-14 ; Ez.10:14-15 ; Ap.4:8-9 ) symbolisent les évangélistes ayant décrit la scène : Mt.1:18-24 et Lc.1:26-38
Le coq du tympan symbolise le Christ annonçant le commencement du royaume : la parousie
Les vivants (Ez.1:5-14 ; Ez.10:14-15 ; Ap.4:8-9 ) symbolisent les évangélistes ayant décrit la scène : Mt.1:18-24 et Lc.1:26-38
Quatre
anges, de tous les coins du monde, désignent le Messie aux sages et
aux bergers apportant leur offrande : l'agneau du jeune berger
rappelle la parole d'Isaïe et la tradition pascale, le bâton est
celui du pasteur, tandis que les offrandes des mages signifient les
qualités du Christ : l'or du Roi, l’encens du Divin et la myrrhe
de l'Immortel.
Ce
sont les apocryphes qui notent la présence de l’âne et du bœuf à
la crèche. Jésus toujours désigné par l’auréole crucifère est
couché dans la mangeoire conformément à l’écriture. Sa mère
est couchée à ses côtés signifiant qu’elle a vraiment accouché
humainement.
Joseph médite au pied de la source que produit Marie, comme tout père de famille, devant ce mystère extraordinaire, il porte le bâton de pasteur et de chef en forme de tau.
Le premier bain de l'enfant sanctifie le Graal où la servante Salomé selon la tradition apocryphe plonge la main pour affirmer l'humanité du Sauveur en vérifiant la température.
Marie est dans une forme de haricot, germe de vie, comme Jessé au pied de son arbre, dont elle est issue.
Les anges sont de couleur divine (bleu), les bergers sont aux couleurs de l'espérance (vert), Joseph y ajoute la joie (jeune) et les mages la royauté (rouge). Leurs tuniques montrent les trois âges de la vie comme les flots du départ routier scout : "ils évoquent ce qui en toi, de chaque âge ne doit jamais mourir. Jaune, couleur des louveteaux, couleur du soleil, pour que ta joie illumine ceux qui t'entourent. Vert, couleur des éclaireurs, de tout ce qui grandit, pour que l'espérance toujours t’entraîne plus loin. Rouge, couleur des routiers, couleur du sang et de l'amour, pour que tu n'épargnes ni l'un ni l'autre au long des jours que Dieu te donnera."
Les poissons du tympan tournent comme la roue de l'éternité, de la vie, et symbolisent le Christ : à cause de son nom ICHTUS et des miracles qu'Il a produit avec les apôtres (pêche miraculeuse en Lc.5:1-11, multiplication des pains, ...).
La scène est décrite par deux évangélistes : Mt.2:1-12 et Lc.2:1-20
Joseph médite au pied de la source que produit Marie, comme tout père de famille, devant ce mystère extraordinaire, il porte le bâton de pasteur et de chef en forme de tau.
Le premier bain de l'enfant sanctifie le Graal où la servante Salomé selon la tradition apocryphe plonge la main pour affirmer l'humanité du Sauveur en vérifiant la température.
Marie est dans une forme de haricot, germe de vie, comme Jessé au pied de son arbre, dont elle est issue.
Les anges sont de couleur divine (bleu), les bergers sont aux couleurs de l'espérance (vert), Joseph y ajoute la joie (jeune) et les mages la royauté (rouge). Leurs tuniques montrent les trois âges de la vie comme les flots du départ routier scout : "ils évoquent ce qui en toi, de chaque âge ne doit jamais mourir. Jaune, couleur des louveteaux, couleur du soleil, pour que ta joie illumine ceux qui t'entourent. Vert, couleur des éclaireurs, de tout ce qui grandit, pour que l'espérance toujours t’entraîne plus loin. Rouge, couleur des routiers, couleur du sang et de l'amour, pour que tu n'épargnes ni l'un ni l'autre au long des jours que Dieu te donnera."
Les poissons du tympan tournent comme la roue de l'éternité, de la vie, et symbolisent le Christ : à cause de son nom ICHTUS et des miracles qu'Il a produit avec les apôtres (pêche miraculeuse en Lc.5:1-11, multiplication des pains, ...).
La scène est décrite par deux évangélistes : Mt.2:1-12 et Lc.2:1-20
Le
Ciel, tente aux couleurs du Christ, emplit de la lumière de la
trinité (trois lampes) entre deux églises, nouveau et ancien
testament, sainte famille et prêtres de l’ancienne loi, est aussi
la tente de la rencontre, le saint des saints, le sanctuaire, le
tabernacle, le cœur du temple. Il s'ouvre à la verticale entre deux
monuments : l'église d'Etchmiadzin (vatican arménien) et la
synagogue de Jérusalem (vatican juif). L'enfant au centre fait ainsi
le lien entre l'ancien et le nouveau testament.
Marie
offre son enfant au prêtre Siméon, dont le cantique est chanté
chaque soir à l'office des Complies, pour qu'il soit circoncis,
entrant ainsi dans la coutume du temps et montrant le respect de Dieu
pour la tradition des hommes. Jésus au dessus d'un autel rouge sang
est déjà la victime offerte.
Joseph
porte les deux colombes du rituel officiel et la prophétesse Anne
porte les écritures pour montrer l'accomplissement d'une prophétie.
La
Trinité inspirée du tympan de Noravank montre le Père tenant
tendrement la tête du Fils, tous deux reliés par la colombe d'
Esprit.
Un
seul évangéliste a décrit la scène : Lc.2:21-40.
4/ Baptême
Le
Ciel d’où sort la main Paternelle avec un geste de bénédiction
proclame : « Celui-ci est mon fils bien aimé » et
envoie l’esprit matérialisé sous la forme d’une colombe. Le
Jourdain entre deux montagnes sépare l’image en deux temps :
l’avant et l’après Christ.
Le
Christ entre Ciel et terre accepte le baptême et bénit les eaux,
dominant ainsi l'esprit trouble des traditions païennes. Il porte le
périsonium comme à la passion, son baptême de sang.
Un angé prépare la sortie des eaux avec un linge de couleur royale, un autre utilise les eaux du Jourdain désormais bénites pour féconder la terre par les plantes.
Un angé prépare la sortie des eaux avec un linge de couleur royale, un autre utilise les eaux du Jourdain désormais bénites pour féconder la terre par les plantes.
Jean-Baptiste
pose une main sur la tête du Seigneur pour le baptiser et le montre
de l’autre comme étant celui qui le précède.
Les
poissons du tympan en forme de yin & yang, tournent comme la roue
de l'éternité, de la vie, et symbolisent le Christ : à cause de
son nom ICHTUS et des miracles qu'Il a produit avec les apôtres
(pêche miraculeuse en Lc.5:1-11, multiplication des pains, ...).
Les quatre évangélistes racontent ce moment symbolique : Mt.3:13-17 ; Lc.3:21-22 ; Mc.1:9-11 ; Jn.1:29-34.
Les quatre évangélistes racontent ce moment symbolique : Mt.3:13-17 ; Lc.3:21-22 ; Mc.1:9-11 ; Jn.1:29-34.
Fête
des peintres puisqu’elle donne modèle à l’iconographe et
justifie son travail évangélique.
Le Christ habillé de lumière tenant en main les
écritures qu'Il accomplit bénit ses disciples Pierre, Jacques et
Jean. Le Ciel s'ouvre en forme de mandorle, faite de deux
demi-cercles, forme parfaite, mais aussi du sexe féminin, porte de
toute naissance.
Les deux prophètes qui ont vu Dieu habillés de
joie (jaune) désignent Jésus comme Divin. Elie tient l'épée de la
justice et Moïse le bâton de pasteur et les tables de la Loi.
Le mont Tabor accueille la scène mais les sommets
des prophètes sont aussi le Carmel, le Sinaï et l'Horeb.
Les trois disciples prosternés se cachent le
visage comme jadis Moïse et Elie pour ne pas être transcendés.
Le paon du tympan symbolise l'immortalité du
Christ car sa viande était réputée imputrescible au moyen âge.
Les trois évangélistes synoptiques racontent la
scène : Mt.17:1-8 ; Mc.9:2-8 ; Lc.9:28-36.
De retour à Béthanie, malgré la crainte de ses
disciples qui l'accompagnent, Jésus ressuscite son ami Lazare mort
depuis quatre jours. La couleur verte de l'espoir et de la
renaissance l'accompagne.
L'apôtre Thomas en tête dit : « allons
et mourrons avec lui ».
Un inconnu tire sur le linceul pour délivrer le
ressuscité comme le demande le Christ « déliez-le et
laissez-le aller » et attester de la véracité de l'incroyable
scène.
Marthe qui s'inquiète (Lc.10:38-42) et Marie,
celle qui oint les pieds du Sauveur (Mc.14:3-4 ; Lc.7:36-50 ; Jn.12:3
; Mt.26:6), les soeurs de Lazare sont à genoux, tandis que les
pharisiens derrière conspirent encore malgré le miracle, formant de
la montagne de Jérusalem un tas de boue
Le paon du tympan symbolise l'immortalité du
Christ car sa viande était réputée imputrescible au moyen âge.
Bien que la scène ne soit racontée que par Jean
(Jn.11:1-46), elle fait référence à Marthe et Marie (Lc.10:38-42)
et l'onction de Béthanie (Mc.14:3-4 ; Lc.7:36-50 ; Jn.12:3 ;
Mt.26:6).
7/ Rameaux
Jésus a envoyé deux apôtre au village d'en face
prendre un âne et prévu le dialogue avec son maître.
Les disciples descendent avec lui à Jérusalem,
les foules coupent des rameaux pour couvrir le sol sur son passage,
les enfants acclament le Seigneur, contre l'avis des pharisiens bien
installés. Le peuple acclame Jésus comme Sauveur en déroulant sous
ses pieds rameaux et manteaux.
Zachée du haut de son sicomorre admire le Christ
et prépare sa conversion (Lc.19:1-10) .
Le coq (bleu divin) du tympan symbolise le Christ
annonçant le commencement du royaume (fond rouge) : la parousie
Quatre évangélistes content la scène :
Mt.21:1-9 ; Mc.11:1-10 ; Lc.19:28-40 ; Jn.12:12-19.
Jeudi Saint.
Jésus sans manteau, tunique de couleur royale, un
linge blanc aux reins pour le lavement des pieds de ses disciples.
Ciel et siège ont la couleur divine pour rappeler son manteau et le
ciel de la crucifixion à venir. Les apôtres forment un bloc ocre
jaune : terre, joie et jeunesse. Un bloc comme l'Eglise naissante,
seuls Pierre et Jean sont vraiment identifiés car les autres sont
aussi nous.
Judas sans auréole a déjà fait son choix, la
bourse à la main car il en était chargé, la tunique de couleur
glauque, entre le bleu et le vert, ambiguë. Il tourne le dos à la
Cène puis s'enfuie de profil, signe encore d'ambiguïté dans
l'enluminure car on ne voit pas tout son visage.
Le cercle de la table comme celui du pain, corps
du Christ est la forme parfaite, sans angle, sans début ni fin,
éternelle, divine.
Les
poissons du tympan en forme de yin & yang, tournent comme la roue
de l'éternité, de la vie, et symbolisent le Christ : à cause de
son nom ICHTUS et des miracles qu'Il a produit avec les apôtres
(pêche miraculeuse en Lc.5:1-11, multiplication des pains, ...).
Seul Jean raconte le lavement des pieds :
Jn.13:1-20. Les quatre évangélistes racontent la trahison de Judas
: Mt.26:20-25 ; Mc.14:17-21 ; Lc.22:14 ; Jn.13:21-30. Les trois
synoptiques et Paul racontent la Cène : Mt.26:26-29 ; Mc.14:22-25 ;
Lc.22:15-20 ; 1Co.11:23-26.
9/ Crucifixion
Vendredi Saint.
En vert, couleur d'espérance et de croissance,
Marie Madeleine tient la précieux parfum avec lequel elle avait lavé
les pieds du Seigneur et ainsi déjà préparé son embaumement ; à
l'opposé Jean prophète des nouvelles écritures.
En rouge, Marie, l'amour d'une mère et le
centurion converti Longinus le sang de la guerre.
Deux femmes la pécheresse repentie et l'Immaculée
conception. Deux hommes, le disciple le plus cher et le persécuteur
converti. Les deux extrêmes de l'humanité rachetées par le
sacrifice du Christ sur le lieu du crâne, Golgotha, crâne d'Adam le
premier homme sur lequel pousse la croix du Premier des hommes,
habillé du périsonium bleu divin comme à son baptême.
Sacrifié pour la terre entière et tous les temps
du jour à la nuit, comme l'attestent le soleil et la lune. Les
astres tombent : le cosmos se tait car le Roi se meurt.
Les anges récoltent le précieux sang du graal
que les hommes ne cesseront de chercher.
La Trinité inspirée du tympan de Noravank montre
le Père tenant tendrement la tête du Fils, tous deux reliés par la
colombe d' Esprit.
Tous les évangiles racontent le crucifiement :
Mt.27:33-55 ; Mc.15:22-40 ; Lc.23:33-49 ; Jn.19:17-28.
10/ Anastase
Samedi Saint.
Tandis que le monde pleure sa mort, Jésus brise
les portes des enfers, écrasant l'ennemi sombre qui retient en ses
lieux clefs et cadenas, signes d'enfermement, et prend par la main
les humains en attente depuis la Genèse, en commençant par les
premiers nés : Adam et Eve. Inspirée de la fresque de St Sauveur un
Chora, une des rares représentations où le Christ prend la main du
couple, habillé de couleurs complémentaires, et non seulement de
l'homme.
Le violet symbolise d'autres couples, âmes
repenties et le gris les autres vocations monastiques.
L'habit blanc du Christ, comme pour la
transfiguration, donne toute la lumière de la scène sur fond de
mandorle bleue.
Le paon du tympan symbolise l'immortalité du
Christ car sa viande était réputée imputrescible au moyen âge.
Aucun évangéliste n'est présent car la scène
est apocryphe.
11/ Résurrection
Pâques, apparition aux Saintes femmes
myrrhophores, c'est-à-dire littéralement qui portent la myrrhe pour
embaumer le corps.
Marie Madeleine porte la couleur de l'amour, Marie
le bleu divin et Salomé le vert de l'espoir.
L'ange d'où vient toute la lumière et qui
délimite le Ciel de la terre, désigne le tombeau vide en forme
d'église arménienne.
Les linges sont pliés selon l'écriture. Jean qui
n'avait pas osé rentrer dans le tombeau les montre à Pierre qui se
penche au dessus du cercueil.
Les gardes romains endormis à terre attestent par
leur présence que le corps n'a pas été volé comme l'ont essayé
de faire croire les pharisiens mais qu'Il est vraiment ressuscité.
Le coq (bleu divin) du tympan symbolise le Christ
annonçant le commencement du royaume (fond rouge) : la parousie
Tous les évangiles racontent la scène :
Mt.28:1-8 ; Mc.16:1-8 ; Lc.24:1-4; Jn.20:1-10.
La
verticale est tracée par le Fils et sa Mère, l'horizontale par les
douze apôtres. Le Christ ne porte plus le manteau bleu représenté
désormais par la mandorle portée par les anges comme ils ont
recueilli son sang lors de la crucifixion. Il porte le rouleau des
écritures qu'Il accomplit et bénit le collège des apôtres, Marie
au milieu d'eux habillée du bleu divin de son Fils et coiffée d'un
manteau royal aux trois étoiles de la Trinité.
Comme
lors de la Cène, les apôtres forment un bloc ocre jaune : terre,
joie et jeunesse. Un bloc comme l'Eglise naissante, seuls Pierre,
tenant les clefs de l'Eglise et Jean imberbe car encore très jeune
et désignant le Christ, sont vraiment identifiés car les autres
sont aussi nous.
La
flamme de l'Esprit Saint brille au dessus de chacun des apôtres
confirmés par la Pentecôte.
La Trinité inspirée du tympan de Noravank montre
le Père tenant tendrement la tête du Fils, tous deux reliés par la
colombe d' Esprit.
Seul Luc raconte l'Ascension dans son évangile et
les actes : Lc.24:50-53; Ac.1:3.
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